Travailler chez TVH Equipment, une affaire de famille

Depuis plus de 50 ans, TVH Equipment est une entreprise très familiale. C’est surtout à notre siège de Waregem que cette notion peut être prise au pied de la lettre. De nombreux membres de familles de Flandre occidentale et du nord de la France sont employés chez TVH Equipment. Nous avons demandé à quatre duos comment ils vivaient cela.

Ruddy Lannuzel travaille depuis 2005 pour TVH Equipment et il est actuellement expert (électro)mécanicien. Son fils a rejoint la société à l’automne 2021 en tant qu’inspecteur machines.

Ruddy : ‘Je suis arrivé ici par l’intermédiaire d’un ami qui travaillait chez TVH Parts et avait communiqué mon nom quand il avait appris que la société cherchait des électromécaniciens. Je suis venu pour une visite guidée et j’ai vu plein d’engins que nous avions aussi là où je travaillais à l’époque, en France. La seule différence, c’est que l’encadrement technique était bien meilleur ici. Je n’ai donc pas hésité longtemps avant de rejoindre TVH Equipment.’

Théo : ‘Mon histoire avec TVH Equipment a débuté à l’occasion d’un job de vacances pendant 5 semaines. Un jour, j’ai vu une offre d’emploi pour un inspecteur machines sur un écran à l’atelier. Quand j’ai demandé à mon père ce qu’il en pensait, il s’est montré tout de suite très enthousiaste. Un an et demi plus tard, je suis toujours très heureux de mon choix. Comme je suis inspecteur machines, nous ne sommes pas dans la même équipe, mais nous travaillons quand même régulièrement ensemble. Si je détecte un défaut pendant mon inspection, je dois le signaler à mon père. Il demande alors à un des membres de son équipe de faire les réparations nécessaires.’

Ruddy : ‘Nous traversons tous les jours la frontière depuis notre domicile dans le nord de la France. Étant donné que j’ai un horaire flottant, je m’adapte à son horaire. Nous ne sommes pas directement collègues, mais lorsque nous nous croisons, je le traite comme n’importe quel autre collègue. Si j’estime qu’il n’a pas bien fait son travail, je n’hésite pas à le lui dire. Je ne vais pas l’épargner parce que c’est mon fils... Maintenant que je commence à faire figure d’ancien, j’ai un peu l’impression d’être le père de tout le monde. Pour les francophones, en tous les cas. S’ils ont quelque chose sur le coeur, il est parfois plus facile pour eux de s’adresser à moi plutôt qu’à leurs responsables flamands.’

Théo : ‘Ici, nous sommes simplement des collègues et nous nous comportons avec professionnalisme. À midi, nous prenons souvent notre pause ensemble et il nous arrive de discuter de ce qui est bien ou moins bien. Même si c’est bien pratique pour moi de toujours avoir un mentor expérimenté sous la main, je ne passe pas mon temps à lui courir après. À la maison, nous avons évidemment des rôles très différents, nous sommes capables de séparer le professionnel et le privé. Nous ne passons pas notre temps à parler boulot.’

Ruddy : ‘Non, je ne regrette pas du tout d’avoir encouragé Théo à poser sa candidature chez TVH Equipment. Il fait bien son travail, tout le monde est satisfait de lui, et donc moi aussi. Je savais que tout se passerait bien. Il sait très bien quand il doit prendre ses responsabilités. Au travail, du moins...’ (rires)